SF73.4

puis on en a déduit par règle de trois la population FROC en 2001 qu'on a inscrite.

1069033

Retard de 92 ans

L'Académie compte 69 membres F en 2002 Or, selon la figure 1, l'Académie comptait 69 membres nF (nF non francophone) en 1910. On note.

2002 - 1010 = 92 ans

Le potentiel scientifique du Canada francophone accuse donc un retard de 91 ans sur celui du Canada non francophone.

 

Selon l'article de 1983 (réf. 5), le retard était de 78 ans en 1983. Il y a donc eu recul depuis ce temps, un recul de 13 ans en 19 ans.

Sommaire des effectifs

130 élus de 1882 à 2002

60 sont décédés

70 sont contemporains dont

1 a démissionné (Pagé)

• En 2002 , on compte 69 membres.

 

Le critère F touchant la langue de rédaction de la notice F, appliqué à un recomptage, enlève 4 entrées du relevé de 1983, laissant 87 élus au lieu de 91, 32 décés, 55 contemporains à l'époque.

• En 1983, on comptait 55 membres.

Il y en a 14 de plus en 2002, 19 ans plus tard.

En 1983, l'effectif global de l'Académie. F et non F, était 654 et la proportion F/global était 55/654 = 0,084 = 1/11,9

En 2002, l'effectif global de l'Académie, F et non F, est 909, un gain de 255.

Le gain F est 14.

Gain F/Gain global = 14/255 = 0,055 = 1/18,2

Le gain F est petit en comparaison : 14 F au lieu de 243 nF.

 

La proportion F/global en 2002 est 69/909 = 0,0759 = 1/13,17

Cette proportion a diminué entre 1983 et 2002, passant de 8,41 % à 7,59 %, diminution de 0,86 %.

 

Disproportion

On note la disproportion entre deux pourcentages francophones en 2002.

Effectifs francophones dans l'Académie 7,59 %

Population francophone dans le Canada 22,0 %

 

Tentatives

Il y eut au moins deux tentatives de création d'une Académie des sciences en français au sein de la Société royale du Canada, l'une de la part de Marie-Victorin vers 1923, qui donna lieu à son élection de 1924, l'autre de la part de Pierre Demers vers 1961, qui fut déviée de son intention par les autorités de la Société et tourna en queue de poisson.

 

Conclusion

Si l'on accepte comme représentative la mesure du potentiel scientifique, on remarque l'écart immense entre les deux peuples fondateurs du Canada. Les francophones dans les effectifs ci-dessus sont à peu près exclusivement du Québec. Le progrès est indéniable entre 1900 et 2000 sur la figure 1, le potentiel passant de quelques unités à près de 70, mais pendant ce temps le potentiel des non francophones, i. e, du reste du Canada ROC, a augmenté encore plus vite. Immensément plus vite.

Cette Académie joue un rôle politique important. Elle a été créée entre autres pour conseiller le gouvernement du Canada. Elle a validé le projet hâtif d'une revue scientifique prétendument francophone, formé par Lucien Bouchard et la délégation canadienne au Sommet de Dakar en 1985, projet jugé nécssaire pour des raisons politiques. La revue fut bilingue et s'ajouta aux revues bilingues créées par le Canada. Voyez notre numéro 26. La Société royale du Canada fut récompensée par l'octroi d'une subvention fédérale de 5 millions de $ Cdn en 5 ans. - Elle patronne le Fonds canadien pour l'innovation.

Aussi bien que l'ACP Association canadienne des physiciens, elle se prête, en échange d'avantages financiers, à des manoeuvres de caractère politique tendant à réduire le poids politique des francophones et des Québécois.

Les conclusions de l'article de 1983 pourraient se répéter mot pour mot (réf. 5).

Ajoutons : l'expérience répartie sur 3 siècles suggère que cette Académie ne correspond pas aux besoins des francophones du Canada ni des Québécois. Elle a été créée et gérée par d'autres et pour d'autres. Les Québécois ne l'ont pas particulièrement recherchée et ils ne peuvent pas s'y sentir chez eux; ils s'y trouvent en territoire étranger et il leur faut autre chose.

Il leur faut leur propre académie.

Références

1. http://www.stat.gouv.qc.ca/donstat/demograp/general/102.htm

2. http://www.statcan.ca/francais/Pgdb/People/Population/demo02_f.htm

3. http://www.mri.gouv.qc.ca/le_quebec_un_profil/milieu/langue/langue_fr.html

4. http://www.ocol-clo.gc.ca/mf_annA.pdf

5. Science et Francophonie No 3, Juillet 1983, 18-20

L'Académie des sciences de la Société royale du Canada. Derrière une façade bilingue.

Pierre Demers, Science et Francophonie No 3, juillet 1983. 18-20

6. Les déceptions d'un Sommet francophone : Dakar 1989, Science et Francophonie No 26, juillet 1989, 8-19

7. 320. Notes sur la réunion d’affaires de la section III de la Société Royale du Canada. "La science en français et la Société Royale du Canada", 6 pp., 7 juin 1961

Pierre Demers

http://www.lisulf.quebec/PierreDemersBibl1960-9.html

 

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Pour une académie québécoise des sciences

Pierre Gendron, Claude G. Charron, Pierre de Bellefeuille, Gordon Lefebvre, Denis

Membres du Cercle Godin-Miron

Paru dans Le Devoir du 31.10.01

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Le Québec a maintenant une nouvelle politique scientifique mais, contrairement à la situation qui prévaut dans le cas des autres nations, grandes ou petites, qui contribuent actuellement et parfois depuis fort longtemps à l'effort scientifique mondial, il n'y a pas chez nous d'académie des sciences.

Au Québec, nous avons bien une Assemblée nationale, une Bibliothèque nationale et même un Ordre national; il y a une Cinémathèque québécoise, le Musée du Québec et les Prix du Québec, mais il n'y a pas d'académie des sciences. Nous nous contentons apparemment de voir nos scientifiques cooptés par la Royal Society of Canada, pâle copie de la vieille Royal Society de Londres. La France a son Académie des sciences et les Etats-Unis leur National Academy of Sciences, qui demeurent des institutions prestigieuses sur le plan de l'éthique et de la politique scientifique.

Dans le cas de la première, elle intervient dans des débats de société comme sur la question de l'expérimentation animale. Pour la seconde, c'est l'exemple plus récent du clonage humain qui vient à l'esprit, certaines déclarations faites devant la U.S. National Academy of Sciences ayant fait la manchette des journaux.

Méme le Vatican s'est doté d'une Académie pontificale des sciences, dont le recrutement est international et de très haut niveau, pour le conseiller sur les enjeux éthiques de la science et pour l'éclairer sur les rapports entre la religion et la science.

On peut également citer l'exemple de la Suède, un petit Etat jouissant d'une solide tradition scientifique en raison de l'importance de l'Académie suédoise des sciences et de son rôle dans l'attribution des prix Nobel.

Enfin, dans un Etat fédéral comme l'Allemagne qui a hérité de la place que l'on sait dans l'histoire des sciences et dont l'institution la plus connue est la célèbre Académie des sciences de Berlin, il y a aussi une excellente Académie bavaroise des sciences. Pourquoi n'y aurait-il pas aussi place, chez nous pour une académie québécoise des sciences?

Mais qu'est-ce qu'une académie des sciences et pourquoi nous faudrait-il en instituer une au Québec? Historiquement, ce fut l'Académie royale des sciences de Paris qui servit de modèle à la constitution des académies du XVIIIe siècle, de l'Académie prussienne à celle de Saint-Pétersbourg, en Russie.

En plus des fonctions d'information, de reconnaissance mutuelle, de prestige et de sociabilité, les académies permirent la légitimation des pratiques extrauniversitaires et extrascolastiques comme la défense de la langue vulgaire ou encore le recours à l'expérimentation et à une certaine spécialisation. A cet égard, elles constituèrent un instrument d'autonomisation par rapport à l'université et, dans une certaine mesure, à l'égard des mécènes.

D'un point de vue sociologique, une académie est un corps officiel, une "compagnie", avec des statuts définissant ses objectifs, la procédure à suivre pour l'élection et le mode de rétribution de ses membres, la convocation et le déroulement des séances, et dont les travaux et activités peuvent comprendre la publication de comptes rendus, d'études et de rapports rédigés par des comités d'experts, l'administration de concours, de prix et autres distinctions. C'est une institution démocratique exerçant des fonctions politiques et hautement symboliques, intervenant dans les débats de société, contribuant aussi bien à déterminer les priorités de la recherche qu'à établir les normes de la langue scientifique.

En tant que couronnement du réseau des établissements universitaires et dans son rôle de représentation de l'ensemble de la composante scientifique de la sodété, une académie québécoise des sciences servirait à l'édification d'une identité nationale forte.

En se constituant en interlocuteur privilégié des autres nations dans le domaine de la coopération scientifique, elle favoriserait une plus grande affirmation de la personnalité internationale du Québec et de sa volonté d'ouverture sur le monde.

Le rayonnement d'un pays

Le rayonnement d'un pays est aussi celui de sa culture et de son potentiel scientifique qui lui permet d'être un producteur de connaissances. De plus, la reconnaissance de la qualité de la production scientifique d'un pays n'est jamais une donnée négligeable. L'ACFAS l'a bien compris en ajoutant à la liste de ses prix annuels le prix Adrien-Pouliot de coopération scientifique avec la France, créé au printemps de l'an 2000 et commandité par le ministère des Relations internationales du Québec et par le Consulat général de la France à Québec.

C'est aussi une dimension essentielle de la nouvelle politique québécoise de la science et de l'innovation. Cette politique se présente comme "une vision qui inscrit la société québécoise dans le concert culturel des nations par la contnbution de ses chercheurs et de ses créateurs à l'idéal universel de compréhension des phénomènes humains et de l'univers physique" (Savoir changer le monde - Politique québécoise de la science et de l'innovation, Québec, ministère de la Recherche, de la Science et de la Technologie, 2001). Et elle précise: "La science est une entreprise essentiellement internationale. Chaque pays apporte sa contnbrition au patrimoine mondial des connaissances et, en contrepartie, puise à ce patrimoine. Les chercheurs du Québec sont déjà activement inscrits dans de multiples réseaux de collaboration internationale. Ces initiatives doivent se multiplier."

Une académie des sciences régie par une loi québécoise, agissant en toute indépendance par rapport à l'appareil gouvernemental tout en bénéfidant du soutien de l'Etat, pourrait exercer un rôle de leadership dans "l'appropriation" dont parle la nouvelle politique, notamment en ce qui concerne la diffusion de connaissances et la réflexion sur les enjeux éthiques.

Elle serait un acteur important dans la démocratisation des rapports entre l'Etat et la société civile et pourrait aider à construire une passerelle entre les citoyens et les scientifiques. Sur la scène internationale et plus particulièrement dans le domaine de la coopération scientifique, elle canaliserait l'expression d'un point de vue proprement québécois tout en favorisant une plus grande ouverture du Québec sur le monde.

Le Québec, pour affirmer son identité, a besoin d'un réseau d'institutions qui couvre tous les sec teurs de l'activité humaine. La science est un domaine névralgique pour l'avenir des sociétés, et il n'y aucune raison pour nous priver d'une institution de prestige.

C'est à travers ses institutions qu'un peuple se reconnaît et enracine son appartenance.

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Contre une Académie québécoise des sciences

Yves Gingras

Professeur au département d'histoire et chercheur au Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie (CIRST) de l'UQAM.

Paru dans Le Devoir du 26 novembre 2001

Les membres du Cercle Gérald-Godin ont récemment avancé l’idée de créer une Académie québécoise des sciences (Le Devoir, 31 octobre 2001). Toutefois, comme nous allons le montrer ici, les fonctions qu’ils veulent lui attribuer sont déjà remplies par d’autres institutions québécoises. Il n’y a donc pas lieu de fonder une Académie qui non seulement sèmerait la confusion dans la division des tâches entre les institutions existantes, mais les affaiblirait en détournant des ressources déjà modestes vers des projets plus symboliques que fonctionnels.

Les auteurs écrivent qu’une Académie des sciences est " une institution démocratique exerçant des fonctions politiques et hautement symboliques, intervenant dans des débats de société, contribuant aussi bien à déterminer les priorités de la recherche qu’à établir les normes de la langue scientifique ". En fait, loin d’être démocratiques, les académies sont, par définition, avant tout méritocratiques car, pour avoir une valeur symbolique, elles doivent être réservées à une élite. Quant au rôle de réflexion et d’intervention critique sur les enjeux de la science que les membres du Cercle voudraient confier à cette académie, il est déjà largement rempli par le Conseil de la science et de la technologie du Québec, dont les avis sont le fruit de comités composés d’experts choisis parmi la communauté scientifique. Les récentes consultations sur la Politique scientifique québécoise nous ont par ailleurs convaincus qu’il n’est nul besoin d’un club sélect pour établir les priorités de recherche nationales.

Le véritable modèle de regroupement et de représentation démocratiques des scientifiques est en fait fourni par l'Acfas, (l’Association canadienne-française pour l’avancement des sciences, devenue l’an dernier l’Association francophone pour le savoir), institution fondée en 1923 par le frère Marie-Victorin, le docteur Léo Parizeau et quelques autres. Plus que centenaires, ses modèles américain (AAAS, 1848) et britannique (BAAS, 1831) sont encore très actives sur la place publique. L’Acfas ne fait pas exception et son dynamisme se mesure à la vigueur de son congrès annuel, tenu depuis 1933 et de ses interventions régulières auprès du gouvernement. Elle remplit donc utilement le " rôle de représentation de l’ensemble de la composante scientifique de la société " que les auteurs voudraient attribuer à une académie, et contribuent effectivement " à l’édification d’une identité nationale forte ", et ce de manière ouverte et plus démocratique que ne pourrait le faire une " institution de prestige ". À cet égard, il est est tout à fait naïf de croire que le prestige se décrète, alors qu'il n'est que l'effet d'une alchimie temporelle qui résulte d'une lente accumulation symbolique. Si l'on veut du prestige, il faut donc miser sur le temps. Or, à soixante-dix-huit ans, l'Acfas a une longue expérience et des ressources nouvelles lui permettrait de diversifier et d'intensifier ses activités.

Aveugles aux nombreux prix d’excellence scientifique décernés par l’Acfas, dont le premier a été créé en 1944, les membres du Cercle n’ont remarqué que le tout nouveau Prix Adrien-Pouliot de coopération scientifique internationale, révélant ainsi qu’ils s’intéressent davantage aux rapports France-Québec et à la ‘question nationale’ qu’aux sciences proprement dites. Les membres de la communauté scientifique québécoise n’ont toutefois pas attendu la création d’une académie pour être actifs sur la scène internationale et pour récompenser symboliquement leurs meilleurs collègues par le biais de l’Acfas et ce, depuis plus de cinquante ans. Ayant comme Marie-Victorin compris que " honorer la science par nationalisme est un faux culte ", les scientifiques québécois, qui publient déjà le tiers de leurs articles en collaboration avec des chercheurs étrangers, accueilleront sans doute avec un sourire la proposition issue d’auteurs apparemment peu familiers avec le monde scientifique d’ici et d’ailleurs.

L’idée qu’une académie " pourrait aider à construire une passerelle entre les citoyens et les scientifiques " laisse entendre que cela reste à faire. Or, c’est oublier que depuis les années 1930 (oui : 1930!), l’Acfas a déployé de nombreux efforts pour stimuler l’intérêt pour les sciences dans les écoles du Québec en organisant des centaines de conférences et des dizaines d’expo-sciences. C’est elle qui a lancé Le jeune scientifique en 1962, devenu en 1969 Québec Science. Et que dire de sa propre revue, Découvrir, qui fait connaître à plusieurs milliers de lecteurs chaque mois non seulement les chercheurs québécois mais aussi les débats de l’heure sur les enjeux sociaux et économiques des sciences et des technologies! En collaboration avec le CNRS français, l’Acfas organisait d’ailleurs récemment au Cégep de Limoilou un colloque de trois jours intitulé " Sciences et société " au cours duquel des chercheurs français et québécois ont échangé avec des étudiantes et des étudiants du collégial sur l’impact social du développement scientifique, un autre bel exemple de coopération internationale.

On le voit: les auteurs veulent combler à grands frais un vide qui n'existe pas et qui n'est, semble-t-il, que le résultat de leur propre ignorance de la richesse des institutions québécoises dévouées à l'avancement des sciences. Si le gouvernement du Québec a encore quelque dollars à investir (ce qui serait surprenant dans la conjoncture actuelle), il ferait preuve d'une grande sagesse en les confiant à des institutions qui ont déjà fait leurs preuves plutôt qu'en créant une autre de ces "sociétés nationales" que Marie-Victorin, écrivant dans L'Action nationale en 1943, appelait "des sortes de symboles, de cocardes, de drapeaux", qu'il opposait aux véritables institutions culturelles (dont l'Acfas) qui étaient, elles, les "obscures mais indispensables fondations de l'édifice national".

En somme, les membres du Cercle Gérald-Godin ont eu raison d’écrire que " c’est à travers ses institutions qu’un peuple se reconnaît et enracine son appartenance ", mais, ironie de l’histoire, ils ont commis la grave erreur de ne pas reconnaître celles qui sont déjà bien enracinées et qui continuent de refléter de manière dynamique notre appartenance collective.

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Un dossier à suivre

La création éventuelle d'une académie des sciences proprement québécoise a suscité d'autres interventions publiques. Science et Francophonie les fera paraître dans un prochain numéro selon les disponibilités.

Nous invitons les lecteurs à nous adresser leurs opinions à ce sujet.

L'existence d'une académie des sciences proprement québécoise favoriserait-elle l'usage du français par nos scientifiques?

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Source

Nous remercions le professeur Yves Gingras qui nous a rendu disponible son texte en mémoire d'ordinateur.

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Réservez votre heure du midi samedi 23 mars, pour participer au traditionnel rendez-vous, le 14e,

Pasteur parlait français samedi 23 mars 2002

midi, aux lieux habituels, Montréal* et Paris

On suggère que les Français (les Parisiens) organisent une visite

en groupe du Musée Pasteur après le ralliement devant la statue Pasteur rue du Dr Roux.

Musée Pasteur, 25, rue du Docteur Roux - 75015 ParisTél. : 01 45 68 82 83

Ouverture :Tous les jours de 14 h à 17 h 30

http://www.pasteur.fr/pasteur/musees/pasteur/presentation.html

Par prudence, confirmez les heures d'ouverture.

 

* Square Pasteur, UQAM, rue Saint-Denis. En 2001, le Recteur intérimaire Gilbert Dionne était présent. On a invité cette année le recteur Roch Denis.

 

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Science et Francophonie No 73, janvier 2001,

paraît en mars 2002

Versions sur papier : une première en mars 2002. La page 14 manque. Une 2e, 73BIS, réparant ce défaut, en juin 2002.

FIN

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