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Science et Francophonie

Décembre 2013 No 030

Version du 9 décembre 2013.

Rédacteur en chef Pierre Demers Science et Francophonie paraît en ligne.

Paraît sous l’autorité de la LISULF. Ligue Internationale des Scientifiques pour l’Usage de la Langue Française.

Science et Francophonie: Pierre Demers, Rédacteur en chef; Patrick Demers, Informaticien  en résidence, Maurice Day, Graphiste, . Hélène Trudeau, Grammairienne; on demande des aides à la rédaction.

Auteurs, adressez vos textes format Word par courriel c3410@er.uqam.ca

Il n’y a pas d’abonnement. SVP versez votre cotisation 2013 si vous voulezvotre chèque en cette fin d’année:

25 $ ou 25 Euros, étudiant 10$ ou 10 Euros, corporatif 200$ ou 200 Euros chèque à LISULF, 1200 Latour, St Laurent H4L 4S4 Qc.

Et vous serez assuré de recevoir S&F en ligne. Copie autorisée et encouragée avec mention de l'origine.

MM Mmes les bibliothécaires, vous êtes invités à prendre des copies papier et à les mettre sur les présentoirs.

Et ensuite en archives SVP.

*Voudriez-vous confirmer que vous le faites effectivement ? Bibliothèques nationales et autres.

Traduction interdite : interdiction de traduire vers les articles de rédaction. INSN.0825.9879. Éditions PUM.

Presses Universitaires de Montréal.

Bureau de la LISULF voyez http://www.lisulf.quebec/SF007bis.htm

Patrick Demers, Informaticien  en résidence. Maurice Day, graphiste. Hélène Trudeau, grammairienne.

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LISULF corporation aux buts non lucratifs buts : promouvoir l’usage du français en science et autrement, et l’accès du Québec à l‘indépendance; enregistrée sous la loi du Québec et reconnue pour fins d’impôt par le gouvernement du Canada à Ottawa RPFI No d'enregistrement QC 0600643 - 21 - 08. Reçu pour fins d'impôt (Québec - Canada). Enregistrée France, Belgique. Dépôt BN Québec, Canada, France, Belgique.

Science et Francophonie. Contenu du No 030, décembre 2013, paraissant le 9 décembre 2013 No 030

Décembre 2013 No 030

Aura lieu le 10 décembre 2013. Suite de celui du 30 octobre 2013.

*Un nouveau dialogue avec le recteur Breton.

Pierre Demers.

Assistance de Hélène Trudeau et de Maurice Day.

"collaborateurs anglophones, Chinois, Japonais, Allemands, Australiens, etc, etc….".

**Avec le Professeur Mohamad Sawan, une correspondance. "Une lettre à un collègue de bonne volonté".

Mohamad Sawan, Pierre Demers.

Qu'ils apprennent le français s'ils ne le savent pas.

Investir dans la recherche et l'innovation, c'est investir dans le Québec.

***PNRI Politique nationale de la recherche et de l'innovation 2014-2019.

Pauline Marois.

Commentaires de Claude Morrissette et de Pierre Demers.

Projet de loi 45.

****Création du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie.

Pierre Duchesne, Louise Dandurand, Julie Dirwimmer.

À suivre.

Loi 45.

*****Créé, le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie...déçoit.

Pierre Duchesne. Commentaires de Pierre Demers.

Suite de l'article précédent. Déception complète. Correspondance avec Pascal Ouellet. Louise Dandurand.

***** *Votre cotisation 2013.

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Aura lieu le 10 décembre 2013. Suite de celui du 30 octobre 2013.

*Un nouveau dialogue avec le recteur Breton.

Pierre Demers.

Assistance de Hélène Trudeau et de Maurice Day.

Concernant ces 2 dialogues.

Aussi bien que celui du 30 octobre dernier, le présent dialogue est prévu salle M415 du Pavillon Roger Gaudry. Il aura lieu le mardi 10 décembre 2013, 13h30 à 14h30. Je remercie Hélène Trudeau et Maurice Day qui veulent bien m'accompagner cette fois-ci, l'une au titre d'âme-soeur et l'autre, à celui de photographe. Du texte que j'avais prévu pour le dialogue du 30X2013, Réf. 1, j'ai pu livrer verbalement uniquement la portion de 4 lignes suggérant la création d'un vice-rectorat à l'usage de la langue française. La voici selon mes notes.

"(Quarto. En teminant,) je suggère que l'usage de la langue française à l'UdeM est une affaire importante et permanente pour les années à venir. Je suggère, après une brève correspondance avec notre Vice-recteur Lalande, que vous pourriez créer un vice-rectorat à l'usage de la langue française, en liaison avec le Ministère approprié. La LISULF offrirait ses services à titre d'expert."

De la réponse du Recteur, à mon regret, je n'ai compris aucune phrase. Ayant compris des bribes, j'ai cru qu'il ne retenait pas ma suggestion. Voir à venir dans S&F une analyse de la politique de l'UdeM en matière d'usage de la langue française. Mon texte au complet a été adressé à Forum de l'UdeM, qui ne l'a pas fait paraître, malgré une démarche de Mme Garon Réf. 2. Mme Garon m'a d'ailleurs obligeamment assisté au titre d'âme-soeur. Forum a fait paraître un article faisant état de mon intervention. Réf. 23. Fig. 1.

D'autres sont handicapés autrement: aveugles ils ou elles ont besoin d'un chien-guide pour se déplacer. Ayant troubles d'élocution, on connaît l'astrophysicien Hawkins, constamment accompagné par un auditeur-répétiteur habitué à sa voix, qui écoute et comprend et répète. Mon handicap est auditif: pour comrendre un locuteur, il faut qu'il soit à moins de 150 cm de ma personne et qu'il s'adresse à moi en me regardant dans les yeux.

C'est ainsi que, durant les quelque 90 minutes de la réunion, je n'ai compris aucune phrase, seulement les 2 mots "langue maternelle", qui revenaient souvent.

Mon texte pour le dialogue du 10XII2013.

M'efforçant d'être bref comme on me l'a demandé.

Universités et langue française, la conjoncture est marquée depuis une semaine par la création jeudi dernier d'un Ministère dédié aux universités, MESRST, Miinistère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie ministre Pierre Duchesne, cela suit la parution d'une inspirante Politique Nationale de la Recherche et de l'Innovation PNRI qui détaille en 21 endroits l'usage du français en recherche scientifique, proposée fièrement par la 1re ministre Pauline Marois.

Je choisis mes paroles en conséquence.

D'abord, je félicite l'UdeM d'avoir oeuvré longuement dans le cadre de la Conférence des Recteurs et Principaux des Universités du Québec CREPUQ et je vous pose une question:

Le Québec devrait-il continuer de subventionner les établissements d'enseignement supérieur qui enseignent dans une langue autre que le français, notre langue officielle?

Deuxièmement et conformément au contenu de la Politique Nationale de la Recherche et de l'Innovation et aux recommandations de la LISULF, ne voudriez-vous pas mettre oeuvre fièrement un virage à la fois au numérique et à la langue française, pour faire paraître en ligne les publications des scientifiques de l'UdeM? Toutes les Universités du Québec et de France voudraient ensuite vous imiter.

Merci. Pierre Demers sciences 1936, professeur honoraire, président de la Ligue Internationale des Scientifiques pour l'Usage de la Langue Française LISULF.

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Ci-dessus, temps de lecture 125 sec..

Ci-dessous le texte préparé pour le dialogue du 30XI2013

Mon cher Recteur et collègue,

Je vous félicite d'accomplir cette tâche exigeante à la tête de notre grande université de langue française, au 1er rang en terre québécoise et américaine. Sa devise, Fide splendet et Scientia disons en abrégé F&S, ressemble beaucoup à S&F, abréviation de Science et Francophonie, dont le nom est tout un programme, publication de la LISULF, Ligue Internationale des Scientifiques pour l'Usage de la Langue Française, qui fut créée en 1979, Paul Lacoste étant recteur, par plusieurs diplômés dont notoirement Jean-Arnold Drapeau. J'en suis l'actuel président.

Primo, je voudrais vous suggérer qu'il serait à l'avantage de l'UdeM de rapatrier dans ses murs les archives du l'Atome de Montréal, qui a rendu notre bâtisse célèbre, je veux dire de ce Laboratoire multinational conjoint Canada-Angleterre-France qui occupa, de 1943 à 1945, une partie de la bâtisse prévue pour l'hôpital universitaire, en liaison avec le Projet Manahttan qui culmina en août 1945 avec l'usage des deux bombes à Hiroshima et à Nagasaki. J'y travaillai, en compagnie de plusieurs scientifiques francophones dont Halban et Kowarski. Un plaque de bronze dans la Cour d'honneur, trop peu visible, en fixe la mémoire. Un autre de nos diplômés, Antoine Théorêt a entrepris d'en écrire l'histoire et il me dit que les archives seraient principalement en Angleterre, probablement une partie est encore au Canada. Vous pourrez regarder un dossier annexé.

Secundo, je voudrais vous suggérer qu'il serait à l'avantage de l'UdeM qu'elle se charge pleinement de sa mission exemplaire de rayonner en français par les publications scientifiques, surtout dans ces magnifiques locaux du prochain campus d'Outremont en construction bientôt.

L'histoire du 19e siècle explique qu'il est difficile de s'y décider parce que Lambton Lord Durham, émissaire de la Reine Victoria en 1838, a légué un fantôme apeurant qui flotte encore. Je cite ses paroles.

"toute autre race que la race anglaise (j’applique ce mot à tous ceux qui parlent la langue anglaise) y apparaît dans un état d’infériorité."

et ces autres, peu rassurantes.

"il est impossible, avec la plus grande libéralité de la part du Gouvernement britannique, de donner une position égale, dans la concurrence générale de son immense population, à ceux qui parlent une langue étrangère."

Elles planent toujours, comme une bénédiction au rebours.

Moi-même, en les relisant, je frissonne avec un serrement de coeur. Bien sûr. ce n'est qu'un fantôme, mais les sentiments gouvernent les actes et les finances publiques. C'est ainsi que le Bas-Canada devenu Province du Québec en 1867, fut chargé de la dette accumulée par le Haut-Canada jusqu'en 1841, et frustré d'un manque à gagner évalué aujourd'hui à des dizaines de billions de dollars, qui manquent par conséquent dans notre bas de laine. Par des procédés d'intimidation.

L'adage: "Publiez en anglais ou périssez" a donc une origine lointaine.

On nous fait vivre dans la peur, la peur de déplaire aux Anglais. Cela par exemple dans la présente course municipale au vote des anglophones, malgré la loi 99 qui affirme tranquillement: le français est la langue commune et officielle pour tous, anglophones compris.

Notre élite oeuvrant à l'UdeM devrait savoir mieux, elle qui professe la liberté d'expression dans ses actes exemplaires que le public regarde.

Tertio, je vous signale que cette liberté, de publier en français, est facile de réalisation. La toile informatique est libératrice. Quiconque, tout chercheur de l'UdeM est libre de faire paraître ses découvertes sur la toile informatique, rapidement, en français uniquement, avec archivage comme patrimoine national dans la BaNQ Bibliothèque et archives nationales du Québec, avec une autocensure que les doyens et directeurs de laboratoire pourront confirmer. Ce sera la fin de l'exploitation abusive qui enrichit des éditeurs, dénoncés universellement, de coûteuses revues papier en anglais uniquement.

Je prêche d'exemple: toutes mes publications sont en français depuis 1980. Voyez le site LISULF. Vous y verrez que l'Assemblée des Patriotes de l'Amérique Française m'a décerné son Grand Prix Pasteur-Frappier 2013 pour mon oeuvre scientifique en français sur le Système du Québécium.

L'UdeM ayant pris les devants, le monde entier du savoir en français devra la suivre, Québec, France et ailleurs.

Quarto. En teminant, je suggère que l'usage de la langue française à l'UdeM est une affaire importante et permanente pour les années à venir. Je suggère, après une brève correspodance avec notre Vice-recteur Lalande, que vous pourriez créer un vice-rectorat à l'usage de la langue française, en liaison avec le Ministère approprié. La LISULF offrirait ses services à titre d'expert.

Pierre Demers sciences 1936 Professeur honoraire Président-fondateur de la LISULF.

Références.

Réf. 1. 30X3013 er.uqam.ca/nobel/c3410/SF028.htm, ***** ****Un dialogue avec le Recteur Breton. Pierre Demers. Réf. Maurice Day, Hélène Trudeau, Marilou Garon.

Réf. 2. Forum et Nouvelles de l'UdeM http://www.nouvelles.umontreal.ca, Lundi 4 novembre 2013

http://www.nouvelles.umontreal.ca/campus/activites-speciales-et-invites/20131105-les-diplomes-dialoguent-avec-le-recteur.html

www.nouvelles.umontreal.ca/campus/activites-speciales-et-invites/index.php,

Activités spéciales et invités Les diplômés dialoguent avec le recteur Mardi, 05 Novembre 2013 12:15 BCR

Un extrait: " Le doyen des participants, Pierre Demers, diplômé en sciences en 1936, a ainsi livré un plaidoyer convaincu en faveur de la protection du français en recherche."

NDLR 1. Verbalement, j'ai plutôt suggéré: " créer un vice-rectorat à l'usage de la langue française"...

NDLR 2. Dans le texte que j'ai remis aus personnes présentes, je n'ai pas écrit protection, mais plutôt udsge du français.

"Les participants avaient énormément de questions, qui traduisaient toutes un fort attachement à leur alma mater. Cette rencontre faisait partie des dialogues que le recteur anime périodiquement avec différents groupes d'employés de l'Université de Montréal.

Il fut notamment discuté, et abondamment, de la qualité du français et ce seul thème aurait pu occuper tout l'échange, qui s'est déroulé au pavillon Roger-Gaudry. Quel que soit leur âge ou leur discipline d'études, les diplômés tiennent à ce que professeurs et étudiants accordent un grand soin à la langue française, tout spécialement dans les travaux écrits. Le doyen des participants, Pierre Demers, diplômé en sciences en 1936, a ainsi livré un plaidoyer convaincu en faveur de la protection du français en recherche."

u

Fig. 1. Au cours de ma prise de parole. Le Recteur écoute. Forum de l'UdeM vol. 47 No 11 papier p. 4, Semaine du 11XI2013.

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"collaborateurs anglophones, Chinois, Japonais, Allemands, Australiens, etc, etc….".

**Avec le Professeur Mohamad Sawan, une correspondance. "Une lettre à un collègue de bonne volonté".

Mohamad Sawan, Pierre Demers.

Qu'ils apprennent le français s'ils ne le savent pas.

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J'en ajoute: tirer des plans.

D'après les textes entourant votre signature, je vois que vous êtes, comme bien d'autres collègues scientifiques du Québec, captif ou engagé dans un système socio-politique à peu près inévitable pour exister et travailler dignement, qui n'est partiellement dans la langue française que si elle est accompagnée de son équivalent en anglais. Le contexte créé ces jours-ci par l'annonce de la création du MSERST et de la politique PNRI de la recherche, décrites dans l'article suivant du présent Numéro SF030 Réf. 3, doit nous faire réfléchir. Je suggère que cette réflexion conduit naturellement à expérimenter le système de publication décrit dans SF029. Je l'ai essayé depuis 1980 et je m'en porte bien.

Voudriez-vous l'essayer de votre côté et donner l'exemple d'un essai concret, qui êtes dans une position d'autorité et de carrière active?

Amical, pratique et patriotique.

Pierre Demers

Le 6XII-2013, 3h00 HNE

==

Merci votre accord, magnifique, continuons ensemble. Il faudra se rencontrer et tirer des plans.

Pierre Demers.

Le 5XII2013, 5h56 HNE

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Le 2013-12-05 à 04:42, Mohamad Sawan <mohamad.sawan@polymtl.ca> a écrit :

Prof. Demers

Merci pour l'intérêt porté à notre échange, je n'avais pas prévu de faire de ma très courte réaction une belle histoire.

Je suis Québécois depuis bientôt 32 ans, marié avec Carmen Chouinard, une extraordinaire fille venant du rang 8 du village Ste-Eluthère, en plein lac Pohénégamook, connaissez-vous l'endroit ?

Carmen et moi avons réussi à avoir 5 enfants, grande contribution sociale, le français est bien sur notre langue d'usage de tous les jours, mais nous essayons de parler le plus de langues possibles.  Mes enfants parlent français, arabe, anglais et espagnol.  Il est dommage que nous n'avons pas l'occasion d'apprendre plus de langues, la langue Chinoise par exemple doit être un cible à tout jeune qui veut suivre l'évolution des prochaines années et permettre au Québec de prendre place au monde.

Note: vous avez écrit mon prénom de trois façons différentes: Mohamad, Mohamed et Momahad.  SVP utiliser Mohamad (voir mon adresse courriel et ma signature.

Je n'ai donc rien contre que vous publiez toute échange entre nous, je suis tout à fait d'accord de privilégier le français aussitôt que les francophones sont une majorité dans une rencontre quelconque et je crois donc qu'il faut apprendre le plus de langues possible pour faire connaitre le français!

Cordialement

____________________________________________

Mohamad Sawan, P.Eng., FIEEE, FCAE, FEIC, O.Q.

Professor and Canada Research Chair, Polytechnique Montreal

Director ReSMiQ Centre & Polystim Neurotech Lab.

IEEE TBioCAS & TBME Associate Editor, CASS BoG Member, SSCS Montreal Chapter Chair

http://www.mohamadsawan.org/

http://www.polystim.org/

==

Cher collègue Momahad Sawan,

Votre commentaire m'intéresse.

Voudriez-vous l'élaborer davantage?

Bien sûr, je  n'ai que des approbations à adresser aux individus qui apprennent diverses langues. Mais c'est la mise en oeuvre du bilinguisme officiel anglais-français que je trouve déraisonnable.

Le Québec, dans sa loi Facal 99, a institué le français langue officielle unique et langue commune. C'est bien à nos 18 établissements universitaires de se conformer et de donner l'exemple. Surtout dans leurs activités de grande valeur comme les publications scientifiques et les candidatures aux Prix du Québec,

L'exemple de nos 3 établissements de Montréal et de sa région, que notre gouvernement subventionne est une sorte d'absurdité. Ce subventionnement doit-il continuer?

Un effet évident est de priver l'enseignement supérieur dans la langue officielle, de crédits importants.

Un autre est de déconsidérer à la fois le gouvernement qui ne parvient pas à faire respecter ses propres lois, et la population qui essaie de vivre en français, entre autres celle qui vient d'une immigration récente.

Vous savez comme moi que Montréal s'anglicise. Voyez le Rapport Curzi en 2013. Cela a commencé vers 1800, quand les McGill et autres marchands anglais se sont installés à Montréal, profitant des infrastructures disponibles et de la population installée. Ils ont favorisé et financé spontanément  l'éducation en anglais, appuyés par une mère-patrie riche et anglicisante.

Vos collaborateurs " collaborateurs anglophones, Chinois, Japonais, Allemands, Australiens, etc, etc…." ?  : Pour avoir le privilège de travailler avec vous et dans un contexte de langue française unique en Amérique continentale, ils pourraient apprendre le français.

Et en attendant, vous pourriez en trouver d'autres parmi les millions qui savent déjà le français.

Mais j'arrête. Ce sont vos avis que j'aimerais recevoir et faire paraître dans S&F.

Voudrez-vous continuer le dialogue?

Pierre Demers  Professeur honoraire, Membre émérite de l'ACFAS   il est 21h00 HNE jeudi 28 XI 2013

  "Une lettre à un collègue de bonne volonté".

cc à mon ami Philippe Allard, Directeur de l'ACFAS et qui incessamment sera à l'École Polytechnique.

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Le 2013-11-28 à 19:30, Mohamad Sawan <mohamad.sawan@polymtl.ca> a écrit :

D'accord, mais que fait-on avec mes collaborateurs anglophones, Chinois, Japonais, Allemands, Australiens, etc, etc.... ?

===

Le 2013-11-28 à 1:17 AM, Demers Pierre <pierre_demers@sympatico.ca> a écrit :

Mohamad Sawan, ing. Professeur...

Polytechnique Montréal

Merci votre accusé de réception, l'anglais est de trop.

Pierre Demers  LISULF

===

Le 2013-11-28 à 17:41, mohamad.sawan@polymtl.ca a écrit :

Désolé, absent en une année de ressourcements, je répondrai sous peu.

// Sorry, I'm away in a sabbatical leave, I'll answer very soon.

Cordialement/Regards

Références.

Réf. 1. Pierre Curzi 2010, Le grand Montréal s'anglicise.

http://www.vigile.net/IMG/pdf/Le_grand_Montreal_sanglicise.pdf

Réf. 2. Mohamed Sawan 2013, notice polymontréal.

www.polymtl.ca/polystim/publication/Publications.php?pub_cat=31,

NDLR 1. Si je comprends bien, grâce au professeur Sawan et ses collaborateurs, des aveugles de naissance voient!

NDLR 2. Je vois 94 publications dans la catégorie Refereed Journal Publications, tous les titres étant en anglais.

Voici la 94e, la plus ancienne. [94] An Ultra Low-Power CMOS Automatic Action Potential Detector Gosselin Benoit, Sawan Mohamad, 1970 IEEE Trans. on Neural Systems & Rehabilitation Engineering.

NDLR 3. Dans d'autres catégories, j'aperçois des titres en français. Il y aurait toute une analyse socio-linguistique à réaliser.

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Investir dans la recherche et l'innovation, c'est investir dans le Québec.

***PNRI Politique nationale de la recherche et de l'innovation 2014-2019.

Pauline Marois.

Commentaires de Claude Morrissette et de Pierre Demers.

Voyez le texte intéressant, signé Pauline Marois Réf. 1.

Une analyse en ocurrences.

Voici un relevé des occurrences de franç

1. C’est avec fierté que je vous présente cette politique rassembleuse, qui prévoit des façons innovantes de créer des emplois, de stimuler la collaboration ici comme à l’international, de renforcer la recherche en français et de façonner, à notre image, le Québec du savoir.

Pauline Marois

2. C’est pourquoi il faut également reconnaître la nécessité pour la Politique nationale de la recherche et de l’innovation de soutenir la recherche sur l’identité québécoise, de même qu’elle doit soutenir la recherche en français et la diffusion de la production scientifique francophone.

3. La mise en place d’un concours de journalisme scientifique en résidence dans le monde universitaire pourrait être une façon de favoriser les relations entre la science en français et la société québécoise. 

4. Les deux premiers groupes seront consacrés à l’histoire et à la langue française.

5. L’enseignement numérique à distance (cours en ligne, ouverts à tous et en français);

6. L’enseignement numérique à distance (cours en ligne, ouverts à tous et en français);

7. Cinq mesures sont proposées en vue de placer ces orientations au coeur de l’activité gouvernementale : l’appui à la commercialisation de l’innovation par le truchement des marchés publics, le soutien à la recherche éthique, le soutien à la recherche en français, l’accès aux données publiques et aux publications scientifiques, la création d’une table de concertation interministérielle de la recherche publique et l’établissement de rapports harmonieux entre l’État québécois et le milieu scientifique.

8.  5.4 Le soutien à la recherche en français

9. Près de 200 millions d’hommes et de femmes partagent le français en tant que langue d’échange et de communication.

10. Dans certaines disciplines, notamment celles liées aux sciences sociales et humaines, le recours à la langue française est intrinsèquement associé à l’expression de la pensée, tant pour des raisons syntaxiques que lexicales. 

11. Dans le cadre de la Politique, une contribution financière spécifique sera consacrée à la traduction vers le français de résumés d’articles scientifiques produits dans d’autres langues. On y privilégiera le recours aux outils de la communication numérique.

12. La mise au point d’un outil d’indexation des publications et des citations en français.

13. Disposer de publications scientifiques en langue française est aussi crucial pour assurer la transmission des connaissances auprès de tous les Québécois que pour assurer la présence de la communauté scientifique francophone dans le monde. 

14. Accroître significativement le nombre de publications scientifiques en français ainsi que leur accès;

Accès aux données publiques et aux publications scientifiques en français

2,5 M$

4,9 M$

15. La mise au point d’un outil d’indexation des publications et des citations en français.

16. Répondre au défi de l'identité québécoise : la place du français dans la recherche

L’usage du français dans la recherche et l’innovation pose des défis de trois ordres :

Le développement d’une terminologie scientifique en langue française;

La formation en langue française de la relève;

17. La diffusion et la transmission des savoirs en langue française

18. Disposer de publications scientifiques en langue française est aussi crucial pour assurer la transmission des connaissances auprès de tous les Québécois que pour assurer la présence de la communauté scientifique francophone dans le monde.

19. Accroître significativement le nombre de publications scientifiques en français ainsi que leur accès;

20. Accès aux données publiques et aux publications scientifiques en français 

Total 14 - 17 (trois ans)  2,5 M$    Total 14 - 18 (cinq ans) 4,9 M$.

21.  Le soutien à la recherche en français

Commentaires de Claude Morrissette.

Le 2013-12-06 à 22:03, Claude Morissette <cm7mtl@videotron.ca> a écrit :

Bonsoir M. Demers.

Voici le courriel que je vous expédiais le 23 novembre 2012. Nous semblons sur la même longuer d'onde!

La conférence (Conférence: «Les modèles de diffusion numérique: le cas d'OpenEdition Freemium, un modèle économique pour soutenir l'accès libre»

Jeudi 28 novembre 2013 - Julien Gilet et Julie Therizols, sur un très Français système OpenEdition Freemium, an innovative programme for open access to scientific publishing) que vous avez citée dans votre courriel du 28 novembre dernier pourrait donner un modèle de système à utiliser.

Il serait peut-être temps de ré-activer ce projet que vous avez dans les publications scientifiques en français.

Salutations et merci pour votre infatigable énergie.

Claude Morissette, Président du Conseil exécutif

du Parti Québécois d'Acadie

Début du message réexpédié :

De : Claude Morissette <cm7mtl@videotron.ca>

Date : 23 novembre 2012 20:14:32 HNE

À : Pierre Demers <pierre_demers@sympatico.ca>, Dominique Beaulieu <dominique.beaulieu@gmail.com>

Objet : Proposition concrète sur les publications en français - Version P2 du 23 nov. 2012

Bonsoir Messieurs.

J'ai profité du commentaire de Mr Beaulieu pour ajouter une section supplémentaire à la proposition.

Personnellement, je me suis beaucoup éloigné du milieu scientifique. Vous deux y êtes toujours aussi proches.

Il faut développer dès maintenant un argumentaire.

Le premier qui saute aux yeux: Tentons-nous d'ouvrir une porte ouverte? Y-a-t-il déjà un ou des organismes semblables dans la francophonie? Serions-nous seuls au monde..., à être fiers de notre langue?

Parallèlement, y a-t-il d'autres exemples de pays ou autres qui offrent un service semblable pour le développement de leur langue nationale? Je pense à des pays comme la Chine, qui n'accepte certainement pas que ses scientifiques ne publient qu'en anglais. D'autres pays dont la langue est particulièrement marquante pour leur culture, la Norvège, la Suède, le Danemark, etc...

L'ACFAS a été mentionnée, ferions-nous concurrence ou serions-nous complémentaire avec ce vénérable organisme? Peut-être serait-elle intéressée à prendre en charge l'organisme que nous proposons? À s'associer à notre projet? Si nous ne les associons pas, nous combattra-t-elle?

Problème de l'exclusivité demandée, sinon exigée, je crois, par les revues de prestige?

Ce n'est qu'un début, continuons..., la réflexion.

Merci de vos réactions diligentes.

Salutations.

Claude Morissette

Commentaires de Pierre Demers.

"Tentons-nous d'ouvrir une porte ouverte? Y-a-t-il déjà un ou des organismes semblables dans la francophonie? Serions-nous seuls au monde..., à être fiers de notre langue?

des organismes semblables Je réponds oui en Francophonie, mais en français non.

Serions-nous seuls au monde..., à être fiers de notre langue Les scientifiques de la Francophonie souffrent d'un attachement maladif envers l'anglais ou, au mieux certaines fois, au bilinguisme FA. Ils ont peur de déplaire aux Anglais dominateurs et distributeurs d'argent et d'or, et aux francophones à moitié.

L'ACFAS est en français dans ses congrès. Dans l'attribution de ses prix, non. Elle me connaît et m'a fait membre émérite...

Je réponds.

Dans un nouveau système, je favorise le minimum d'anglais et de gestion.

Quant au repérage par un usager.

Il fait sa recherche de document soit en mode titre (sujet ou contenu), soit en mode nom d'auteur.

Depuis plusieurs années déjà, mes publications sur la toile informatique sont répertoriées quelques heures après leur installation sur mon site.

Ce fut le cas de mon No 1072, dont le titre contient "prégnance universelle".

Mode titre...

En demandant sur cette toile "prégnance universelle", vous le voyez affiché devant vous instantanément Fig. 1.

Fig. 1. Merci Google! J'aimerais pouvoir dire tantôt:"Merci BAnQ", en raison de Patrimoine Scientifique National du Québec.

C'est évidemment le résultat d'une intervention quasiment "dans les nuages", de Google (gougueule) omniprésent.

C'est là une recherche par titre. Vous pouvez aussi chercher "québécium", qui apparaît dans chacun de mes titres. Et vous trouvez une longue série de références à mes oeuvres.

...Mode nom d'auteur.

Ou encore par nom d'auteur. Le nom est inaliénable et unique; sauf que j'ai des homonymes! Tout de même, cela fonctionne.

Pour résoudre l'inconvénient dû à l'homonymie, on pourrait généraliser l'ajout de la date de naissance. Je ne connais aucun autre Pierre Demers 8XI1914.

Je verrais bien que la BAnQ prenne la relève, se chargeant de doubler ou de remplacer le rôle de Google. Se chargeant de diffuser péridiqueent des listes de nouveautés, Notre ami Gaston Bernier, à la retraite (une retraite active) de la Bibliothéque de l'AN pourrait nous aider à ce sujet. 418 643 4408 poste 70688

Publications papier?

Coûteuses, encombrantes, contrôlées par des exploiteurs. Ne pas en abuser. Pour ma part, je suis sensible au charme d'un livre objet qui me parle sans mot dire, que je tiens dans ma main. Mais les périodiques "prestigieux" d'aujourd'hui font partie d'un système adverse au français. Parfois ils sont bilingues FA.

Quant à être lu?

L'auteur alertera par courriel un certain nombre de lecteurs potentiels choisis. La prévention existe actuellement: chez les scientifiques que si ce n'est pas en anglais, ça ne doit pas être bon et digne d'attention. Ils accordent attention aux revues qu'ils appellent "prestigieuses", n'acceptant d'articles qu'en angais. Feuilletez les pages de Forum de l'UdeM, vous y verrez que les publications qualifiées de prestigieuses sont invariablement en anglais.

Pierre Demers 7XII2013

Références.

Réf. 1. http://www.mesrst.gouv.qc.ca/assises/

Politique nationale de la recherche et de l'innovation 2014-2019 investir dans la recherche et linnovation c'est investir dans le Québec.

http://www.mesrst.gouv.qc.ca/recherche-science-et-technologie/politique-nationale-de-la-recherche-et-de-linnovation-pnri/politique-nationale-de-la-recherche-et-de-linnovation-2014-2019-investir-dans-la-recherche-et-linnovation-cest-investir-dans-le-quebeht

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Projet de loi 45.

****Création du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie.

Pierre Duchesne, Louise Dandurand, Dirwimmer.

À suivre.

Le ministre Pierre Duchesne est heureux d’annoncer l’adoption à l’unanimité, par l’Assemblée nationale, du projet de Loi No 45 qui donne une existence légale au ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie, un ministère que lui avait confié la première ministre Pauline Marois en septembre 2012. Réf. 1.

NDLR. 1. Depuis qu'il avait confidence de ce Ministère MESRST, il agissait au sein du ministère de l'Éducation, du Sport et du Loisir MELS et de celui du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation.,

NDLR. 2. Samedi 7XII2013. Au moment d'aller sous presse, le texte complet de la loi n'est pas encore accessible sur la toile. Donc à suivre au prochain No. Enfin, les établissements universitaires, la science et la recherche ont leur ministère. L'ACFAS, par la voix de sa présidente Louise Dandurand, a exprimé sa satisfaction, le nouveau ministère pourra mettre en oeuvre la politique nationale de la recherche et de l'innovation PNRSI Réf. 2.

Référence.

Réf. 1. Pierre Duchesne 2013. Projet de Loi 45 - Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie est légalement constitué, Québec, le 5 décembre 2013.

http://www.mesrst.gouv.qc.ca/actualites/affichage-des-nouvelles/article/5903/,

http://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/projets-loi/projet-loi-45-40-1.html

" Projet de loi no 45, 2013, c. 28 Le fichier sera disponible sous peu."

Réf. 2. Louise Dandurand 2013, dandurand.louise@uqam.ca, dirwimmer acfas

L’Acfas salue l’adoption de la loi nº 45 sur la création du MESRST.

http://www.acfas.ca/medias/communiques/2013/12/05/l-acfas-salue-l-adoption-loi-no-45-sur-creation-mesrst

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Loi 45.

*****Créé, le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie...déçoit.

Pierre Duchesne. Commentaires de Pierre Demers.

Suite de l'article précédent. Déception complète. Correspondance avec Pascal Ouellet. Louise Dandurand.

.

Fig. 1. Pauline Marois et Pierre Duchesne. Merci AN.

Commentaires.

Déception complète. L'inspection du site du MESRST est décevante.

Après l'entrée en matière de la 1re ministre, on pouvait espérer avoir droit à un triomphalisme raisonné et enthousiasmant, et on constate plutôt une plate reconduction du bilinguisme à la manière d'Ottawa qu'on perpétue à grands renforts de dépenses et de publicités.

J'inspecte la toile à gouv qc mesrst, et j'y cherche dans le texte qui s'affiche les occurrences de franç ; voilà la récolte: zéro. Réf. 1.

Voyez Réf. 2. Correspondance adressée au MESRST.

Mme Marois et M. Duchesne semblent bien être en désaccord profond quant au français, langue d'usage des élites du Québec! Se disputeront-ils en public?

Cela rappelle la dispute historique au Devoir entre le tiède Claude Ryan et le bouillant Jean-Marc Léger. Elle s'est soldée par le renvoi de ce dernier.

Pierre Demers, 15h00 HNE le 8XII2013

Références.

Réf. 1. http://www.mesrst.gouv.qc.ca/actualites/affichage-des-nouvelles/article/5903/,

Pascal Ouellet Responsable des relations médias Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie 418 646-4508, poste 3397 , pascal.ouellet@mesrst.gouv.qc.ca

Réf. 2. Correspondance adressée au MSRST, 8XII2013

De : Demers Pierre <c3410@er.uqam.ca>

Objet : Mesures MSRST français

Date : 8 décembre 2013 13:54:10 HNE

À : pascal.ouellet@mesrst.gouv.qc.ca

Cc: Claude Morissette <cm7mtl@videotron.ca>

pascal.ouellet@mesrst.gouv.qc.ca

Pascal Ouellet, relations avec les médias au MSRST

Cher Monsieur Ouellet,

S&F s'intéresse à l'usage du français spécialement en science dans les publications originales de nos scientifiques.

Aussi, l'examen du Programme National de Recherche et d'Innovation PNRI présenté par notre 1re ministre Pauline Marois nous a suggéré de grandes espérances. Afin de les préciser, voici le résultat d'une recherche des occurrences de franç dans son texte: au total, 21 passages ressortent. Les voici ci-dessous.

Dans les textes accessibles sur la toile ces jours-ci, je m'attendais à trouver un écho systématique à chacun de ses 21 passages. Introuvables.

Pourriez-vous me faire savoir quelles sont les actions faites ou envisagées par votre ministère en conséquence de ces passages? 

J'ai jusqu'ici cherché sans succès. J'ai surtout remarqué la vedette donnée à des actions négatives quant à des prix décernés récemment dont Prix du Québec scientifiques. Et ceci: 

www.mesrst.gouv.qc.ca/actualites/affichage-des-nouvelles/article/5902/, 

Cinq lauréats du Concours Étudiants-chercheurs étoiles rencontrent le ministre Duchesne

J'ai remarqué aussi des investissements importants pour des fins autres. Exemple.

www.mesrst.gouv.qc.ca/actualites/affichage-des-nouvelles/article/5617/, 

Investissement important découlant de la Politique nationale de la recherche et de l’innovation et relatif à l’enseignement des sciences  Québec, le 8 novembre 2013 –

Salutations. J'attends.

Pierre Demers  physicien LISULF Rédacteur en chef de Science et Francophobnie

Lisez Science et Francophonie dont le présent SF030 sous presse. 

http://www.lisulf.quebec/SF029.htm

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Un relevé dans le PNRI. 6XII2013 de franç

1. C’est avec fierté que je vous présente cette politique rassembleuse, qui prévoit des façons innovantes de créer des emplois, de stimuler la collaboration ici comme à l’international, de renforcer la recherche en français et de façonner, à notre image, le Québec du savoir.

Pauline Marois

... la suite, voyez l'article précédent,

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NDLR. La présidente de l'ACFAS, Mme Louise Dandurand est-elle satisfaite des premiers actes du nouveau MESRST.?

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***** *Votre cotisation 2013.

Grande campagne de cotisations et dons.

Tous ensemble en 2013 et 2014.

Pour le français en science.

Pour la libération nationale.

Nous avons des chances de réussir.

2013 si ce n'est pas encore fait

et 2014.

Imprimez et employez ce quoi ci-dessus ou encore, envoyez votre chèque 25$ Can ou 25 Euros par année avec vos adresse, No de téléphone et adresse courriel ordre LISULF à  1200 Latour, St. Laurent  Qc H4L 4S4

Cotisation corporative 200$ Can ou 200 Euros.

Étudiant 10$ Can ou 10 Euros.

Don : illimité.

Sincère mais trop pauvre? Quand même! 0$ Can ou 0 Euro.

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