Prégnance universelle.

http://www.lisulf.quebec/quebecium.htm

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Système du Québécium.

"Là où croît le péril..."

Une prégnance universelle.

Hubert Reeves et la prégnance dans l'Univers selon son dernier livre.

Un parallèle avec la création et l'évolution selon le système du Québécium .

Pierre Demers.

Traduction interdite.

14XI2013.

Sommaire. "La où croît le péril... croît aussi ce qui sauve." C'est le titre du dernier livre de Hubert Reeves. Il y développe de thème de l'organisation de l'Univers au point de vue de l'apparition de l'être humain et aussi, de sa survie. Il examine critiquement l'affirmation de Jacques Monod sur le rôle du hasard et suggère, dans un passage que j'isole : " la matière était grosse de la vie et la vie était grosse de l'homme. Il écrit encore : « lois fertiles », pour qualifier celles qui gouvernent la matière. Des rapprochements sont possibles avec le contenu de certaines de mes publications sur la création de la matière et de l'être humain.

Le 13 XI 2013. Extraits du livre de Hubert Reeves. Matière à réflexion.

P. 138. Des lois fertiles

En 1970, dans son

livre Le Hasard et la Nécessité, Jacques Monod écrivait :

« La matière n'est pas grosse de la vie, la vie n'est pas grosse

de l'homme. » En d'autres mots, selon lui, rien n'aurait pu

laisser prévoir l'apparition future de la vie et de l'homme

dans le magma indifférencié de l'univers primordial.

...

P. 140. Nous avons appris que les lois de la physique possèdent

exactement les propriétés requises pour la structuration

du monde. Autrement dit, si ces lois avaient été un tant

soit peu différentes, la vie ne serait jamais apparue sur

laTerre. Pour cette raison, on les dit « lois fertiles ».

La vie est une image de l'atome.

L'atome et la vie ont des organisations semblables. Je parle spécialement des électrons atomiques d'une part et de l'anatomie des vivants pluricellulaires d'autre part. Des cortèges électroniques autour des noyaux positifs, et des mammifères de l'évolution avancée. En définitive, de la structure de l'élément le plus lourd et du terme de l'évolution observable, l'être humain.

On sait aujourd'hui, dans la liste, s'arrêter au Janétium 120 ou commodément, disons dans notre langage, au Québécium 118 (118/120, augmenté de 2 numéros ...). Le Québécium contient tous les éléments connus, de 1 à 118. Le genre Homo contient dans son histoire toute l'évolution de la vie depuis les unicellulaires.

Je dis donc qu'il convient d'apercevoir un parallèle entre l'atome par excellence Qb et le vivant par excellence Homo, parce qu'ils possèdent des organisations possédant des caractères semblables. Ils sont l'un et l'autre des systèmes, ayant des parties munies de relations entre elles.

Certaines parties d'un individu du genre Homo sont évidentes à tous depuis l'enfance, ce sont les membres, bras et jambes, tous les enfants de tous les pays font d'eux-mêmes des dessins tous semblables dès l'âge de 5 ou 6 ans. Fig. montrant les 4 membres.

Les parties de l'atome Qb ne sont pas visibles à l'oeil nu. Tout atome isolé est grosso modo de symétrie sphérique, comme la force centrale du noyau. Les parties mises en cause apparaissent dans un tableau rationnel des 120 éléments.

Le tableau rationnel le plus adapté à cette mise en évidence est le tableau carré du Système du Québécium. Fig. montrant les 4 quadrants.

Fait digne d'attention, chaque quadrant contient 30 éléments, ce qui est établi depuis peu. Par ailleurs, chaque membre humain est un assemblage de 30 os et cela est connu depuis des siècles.

De plus, le nombre 30 est associé aux fondements des mathématiques, en théorie des nombres premiers et figurés et en géométrie; 30 sphères s'assemblent pour donner une pyramide à base carrée, ayant 4 côtés. Fig. ; 4 fois 30 donne 120. Fig.

Il y a lieu d'appeler 30 et ses associés 4 et 120, des nombres magiques au sens des nombres magiques de Goeppert-Mayer et ZZZ pour la structure des noyaux.

30, nombre magique de la nature pour ce qui concerne atomes et vivants. 30 est ce que Platon appela une idée, qui n'existe que dans le monde des idées, impalpable et apanage des êtres pensants que sont les humains. Cela n'empêche pas qu'on puisse le figurer par la parole parlée ou écrite et par des objets appartenant à la géométrie. René Thom l'a dit: comprendre, c'est géométriser.

Une exigence naturelle aussi énorme - pour utilser un adjectif choix de Reeves, pour qualifier le genre Homo, et universelle s'est donc imposée universellement dans le cours du temps. Ce fut une idée et un plan.

On est alors tenté de dire que l'évolution s'est faite en temps négatif: d'abord le genre Homo pour porter l'idée de 30, ensuite le début de la matière. Mais, rationnellement, le temps ne peut s'écouler que dans un sens, inéluctable.

Or l'atome a précédé le genre Homo. L'alternative, solution rationnellement unique s'impose: avant tout, dans l'Univers, il y eut un Surhomme. Il est, de tout temps, hors du temps, comme l'idée qu'il porte.

Le Buisson ardent? Ce que vit et entendit Moïse en terre d'Égypte, un buisson brûlant sans se consumer, une voix en réponse à son étonnement: Je suis celui qui suis. Hors du temps, dans l'éternité des idées et de la vérité. Ëtre suprême, unique par nécessité rationnelle.

À suivre.

À mesure que j'aurai lu et compris ce livre, que j'aurai revu mes propres contributions. Par exemple, des lois et paramètres atomiques bien ajustés. 14XI2013

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