Nouscherter

Systme du QuŽbŽcium.

Obtenir le tableau pŽriodique des ŽlŽments ˆ partir des 1ers principes.

Une tentative de gŽomŽtrie quantique.

Pierre Demers.

Traduction interdite

18-29XII2010

Ë suivre

Obtenir. 2118

Systme du QuŽbŽcium. Obtenir le tableau pŽriodique des ŽlŽments chimiques ˆ partir des 1ers principes. Une tentative de gŽomŽtrie quantique.

RŽsumŽ. Je recommence, ayant tentŽ plusieurs fois depuis 1995 de formuler un cadre thŽorique qui expliquerait le tableau pŽriodique des ŽlŽments dans son entier alors que lĠatome de Bohr-Schrodinger ne sĠapplique tel quel quĠˆ lĠhydrogne. Scerri a rappelŽ quĠaucun principe nĠexplique la suite connue de peuplement des pŽriodes. Mon prŽsent essai insiste sur 2 conditions sĠajoutant aux rgles dĠinterdiction connues sur snlm et ne fait aucune rŽfŽrence ˆ des conditions ŽnergŽtiques. 1o Il existe dĠavance une grille gŽomŽtrique de cases codŽes ˆ remplir, selon un trajet muni de conditions quantiques ; 2o les ŽlŽments sont associŽs en tŽtrades, rgle justifiŽe par des associations saturantes des c™nes de prŽcession des spins. Ainsi se trouve imposŽe lĠapparition de 4 strates de 2 pŽriodes Žgales, sĠaccordant avec le peuplement connu des pŽriodes. Ces conditions conduisent ˆ la formation naturelle de la suite numŽrique 4, 16, 36 et 64, que jĠappelle suite du quŽbŽcium. On arriverait peut-tre ˆ les formuler en termes analytiques. Je suggre quĠelles sont des premiers principes, continuant ceux des mŽcaniques ondulatoire et quantique. La question des ŽlŽments irrŽguliers sera examinŽe ˆ part. DÔaprs RŽf. 1.

image2118.gif (Image GIF, 230x539 pixels)

Introduction.

Avec lĠaddition du passage en bleu Ç sĠaccordant avec le peuplement connu des pŽriodes È, le rŽsumŽ ci-dessus reproduisant le texte soumis ˆ lĠACFAS en 2010 pour 2011 sĠapplique ˆ la prŽsente publication. – Je recommence la recherche dĠune rŽcriture nouvelle, qui me conduit ˆ lĠŽnoncŽ de premiers principes quantiques et gŽomŽtriques dĠo dŽcoule le tableau pŽriodique des ŽlŽments avec son peuplement connu, que la plupart des auteurs considrent prŽsentement comme un problme inexpliquŽ au delˆ de z = 20. Ce problme est apparu ˆ divers auteurs vers 1920. Convenons de lĠappeler le problme quasi-sŽculaire (le problme du peuplement connu des pŽriodes du tableau pŽriodique des ŽlŽments.

Nous cherchons des principes premiers. Nous les appellerons simplement principes. Certains de mes ŽnoncŽs intitulŽs principes sont en rŽalitŽ des conventions plus que de vŽritables principes. En tout premier lieu, nous acceptons les rgles connues concernant les 4 paramtres ou nombres quantiques snlm avec leurs interdictions, on ajoute z, ces 5 nombres Žtant inscrits dans une case numŽrotŽe z. Un ŽlŽment est dŽfini par 5 nombres zsnlm, le  paramtre z dŽpendant des 4 autres. Ces 4 ou ces 5 paramtres forment ce quĠon appelle le caractre dĠun atome.

caractre = (zsnlm), symbole

Les 4 paramtres snlm variables indŽpendantes dŽfinissant un atome sont ceux de son Žlectron de valence. On ajoute aussi le paramtre z et le symbole, soit 6 donnŽes utiles au total.

Remarquez que ces 5 paramŽtres ne sont pas des variables continues, telle masse ou vitesse. Ils ne peuvent prendre que des valeurs discrtes dans les unitŽs convenues, en accord avec la thŽorie, ce qui est le propre dĠune quantification. Cette particularitŽ facilite leurs reprŽsentations graphiques, qui peuvent tre discontinues.

Le problme dĠun seul Žlectron autour du noyau, celui de lĠatome H, est fort bien connu et rŽsolu. Le problme de plus quĠun Žlectron autour dĠun noyau est celui de leur cohabitation dans un espace restreint. Les rgles dĠinterdiction admises jusquĠˆ maintenant ne suffisent pas. JĠen propose  dĠautres.

Principe 1. Les rgles admises concernent les 4 nombres quantiques avec leurs interdictions.

Ces rgles sont des principes qui justifient exactement le contenu de chaque case prise isolŽment mais pas le peuplement des pŽriodes, cˆd la succession des cases rŽalisŽes. Je vais essayer de les complŽter en trouvant dĠautres principes.

Construction. Ce qui veut dire occuper une case aprs lĠautre. Une espce atomique z est dŽfinie par ce contenu dĠune case z augmentŽ de celui des cases de 1 ˆ z-1 non rŽcrit par Žconomie. z est ˆ la fois numŽro dĠordre de lĠŽlŽment, nombre de protons dans le noyau et nombre dĠŽlectrons alentour de celui-ci.

Cela signifie que le peuplement doit commencer par z=1 et non par une valeur arbitraire de z. Il doit continuer par z=2, 3 etc.

Je rappelle le principe dĠexclusion. Ë lĠintŽrieur dĠun atome, il ne peut pas exister 2 Žlectrons ayant le mme quadruplet de valeurs de snlm.

ƒnergie. Et le principe de moindre Žnergie potentielle. Dans un atome stable, chaque Žlectron possde la moindre Žnergie potentielle compatible avec les contraintes qui lui sont imposŽes. LĠhydrogne donne lĠexemple dans le diagramme de Grotrian, Žtats s. La rgle sĠapplique ˆ la statique des systmes macroscopiques. Hormis ce principe ŽnergŽtique universel, je crois possible dĠŽlaborer une thŽorie de lĠatome sans invoquer les Žnergies des niveaux dĠŽnergie individuels mesurŽs expŽrimentalement de lĠatome H excitŽ comme je lĠai fait jusquĠˆ mon avant-dernire publication sur le sujet.

Rappelons que le niveau dĠŽnergie est, en unitŽs appropriŽes, la masse de lĠatome diminuŽe de la masse des Žlectrons au repos et de celle du noyau. Il est connu pour lĠatome H : -13,56 ev. Les autres sont infŽrieurs ˆ 0, sinon lĠatome ne serait pas stable.

Principe 1bis. Le nombre 4, le spin.

Le nombre 4 intervient plusieurs fois. Cette nŽcessitŽ me para”t associŽe au plus simple des solides de Platon, le tŽtradre. Quatre est le plus petit nombre de faces planes suffisant pour enfermer un espace 3D. Quatre spins sĠassocient de faon saturante pour dessiner un tŽtradre. JĠai suggŽrŽ que le nombre 4 mŽrite bien quĠon lĠappelle magique en reconnaissance des services rendus ˆ la structure de la matire.

Les paramtres s, l, m.

Principe 2. Nous figurons les valeurs de l en colorant les cases aux 4 couleurs fondamentales.

BVJR au lieu de l=3210, symboles fdps. Rappelons l<n, l et n entiers. Cette convention Žconomise les Žcritures.

Principe 2bis. Dans une grille de carrŽs, nous plaons une colonne de 4 cases colorŽes figuratives du quantum azimutal l. Ce sont les cases initiales.

CĠest ce qui appara”t dans Fig. 1. La distance entre une case et lĠorigine est Žgale au quantum azimutal l, qui est un entier infŽrieur ˆ n quantum principal, entier lui aussi. Nous procŽdons en admettant sans discussion lĠusage dĠune grille carrŽe. Comme les carrelages dans certaines stations du mŽtro montrŽalais, et bien dĠautres. Il sera ˆ notre usage. Le carrŽ est une projection principale dĠun tŽtradre rŽgulier, cette projection donnant 8 portions de droite dont 4 dŽfinissent un carrŽ et 4, les demi-diagonales de celui-ci.

Fig. 1. Dans une grille dont on voit ici le seul quadrant NO, dont une colonne aux couleurs BVJR synonymes des notations du quantum azimutal fdps ou l= 3210. Grille2.png  Grille2.ai

CĠest la colonne de dŽpart. Nous posons cette exigence que lĠoccupation de la grille doit commencer par lĠune ou lĠautre de ces 4 cases. Il y aura 4 grilles.

Principe 3. Mise en Žquerre. Nous modifions la grille Fig. 1 en faisant appara”tre des Žquerres remplissant le quadrant NO. Chaque case est un bin™me lm, m quantum magnŽtique.

Ceci est plus quĠune convention. Dans cette mise en Žquerre, nous obtenons un nombre 2l+1 cases de chaque couleur. Ce nombre est liŽ ˆ lĠeffet Zeeman. Comme l est un entier, ce nombre est nŽcessairement impair et forme naturellement une Žquerre symŽtrique. LĠŽquerre s nĠa pas de bras. Ces Žquerres sont le signe de lĠoccupation, et donc de la nŽcessitŽ, dĠun espace 2D pour dŽcrire lĠatome. Les Žquerres sĠembo”tent selon la rgle arithmŽtique que la somme des impairs est Žgale ˆ la suite des carrŽs des entiers. Le quantum magnŽtique m va de -l ˆ l, zŽro compris. Il est inscrit dans chaque case. Fig. 2.

Fig. 2. Dans cette grille rŽduite ˆ un quadrant, figurent les 16 valeurs possibles du bin™me lm. On lit l par la couleur, m par les chiffres augmentŽs du signe – au besoin. Chaque bin™me occupe une position uniquement dŽfinie. Les paramtres colorŽs de lĠimage dans le logiciel Illustrator. Grille3.ai Grille3.png

Principe 2bis. La condition de la moindre Žnergie fait que les cases mises en Žvidence sont munies dĠun nombre quantique principal.

Cess nombres sont les plus petits compatibles avec la contrainte imposŽe, que l ait la vaelur proposŽe.

Fig. 2bis. Les valeurs de n dans les cases initiales. Grille3bis.ai  Grille3bis.png

Les bin™mes sont ainsi B4, V3, J2, R1. Fig. 2bis.

Principe 3ter. Nous posons cette exigence que lĠoccupation de la grille doit commencer par lĠune de ces 4 cases et se poursuivre par les valeurs croissantes de m et dŽcroissantes de l.

La colonne de dŽpart, mise en Žvidence, devient celle des cases bin™mes. B-3, V-2, J-1, R0. La suite des valeurs de m dans chaque Žquerre a quelque chose en commun avec la rgle empirique de Hund et autres qui dŽclare que le tableau des ŽlŽments se remplit par blocs ayant mme valeur de l, demi-blocs spins – dĠabord, demi-blocs spins + ensuite. Mais il nĠest pas question des spins dans Figs 2 et 2bis.

Voilˆ pour les paramtres l et m. Occupons-nous dĠun 3e paramtre, le spin, en ajoutant un quadrant NE ˆ la grille restant toutefois incomplte.

Principe 4. Dans la grille figurative encore incomplte, le spin – occupe le quadrant Ouest, le spin +, le quadrant Est. On passe dĠOuest en Est et rŽciproquement, par une symŽtrie miroir.

Ce que reprŽsente Fig. 3. Le plan du miroir passe par lĠaxe contenant le nord N. La mise en Žvidence dĠune colonne est propre au quadrant NO et nĠest pas rŽpŽtŽe dans le quadrant NE.

Fig. 3. La symŽtrie du miroir passant par lĠaxe N sĠaccorde avec la symŽtrie -+ des spins. Il nĠy a pas de mise en Žvidence dans le quadrant NE. Grille 4.ai  Grille4.png

Atttention : miroir. A plusieurs sens selon le contexte. 1. Objet plan rŽflŽchissant quĠon peut utiliser pour se mirer, tel nappe dĠeau tranquille (fable de Narcisse), galerie des glaces OpŽra Garnier de Paris, miroir de toilette, miroir des gr‰ces (vanitŽ). 2. Objet idŽal gŽomŽtrique plan contenant v.g. 2 axes, v.g. x et y, transformant (versant) un ensemble de points xyz en une image rŽsultante xy-z. 3. LĠensemble des points de cette image rŽsultante.

Miroirs didres, didre de miroirs. 1. Deux miroirs 1, 2 v. g. ayant un axe x en commun  dont lĠun contient  y et lĠautre, lĠaxe z.

Encore une fois, nous disons que la suite des valeurs de m dans chaque Žquerre a quelque chose en commun avec la rgle empirique de Hund qui dŽclare que le tableau des ŽlŽments se remplit par blocs ayant mme valeur de l, demi-bloc spins – dĠabord, demi-bloc spins+ ensuite. Il est question des spins dans Fig. 3, de sorte que le rapprochement est plus complet que dans Fig. 2. JusquĠici, les cases ne reprŽsentent pas des ŽlŽments puisquĠil y manque lĠaffichage des valeurs de z et de n, mais elles sont prŽsentes et disponibles dans les nombres voulus pour reprŽsenter, par exemple, les 6 ŽlŽments du bloc p en jaune J (3 ŽlŽments du demi-bloc spin – et les 3 autres ŽlŽments du demi-bloc spin +) dĠune pŽriode.

Retrouvons la symŽtrie carrŽe. Le carrŽ NO quadrant des Figs 1 et 2 est devenu rectangle N dans Fig. 3. Pour complŽter la figuration de la grille complte et du coup retrouver la symŽtrie carrŽe, nous utilisons un miroir haut–bas, le plan du miroir passant par lĠaxe OE. Ce sera alors notre grille figurative complte Principe 5.

Principe 5. La grille figurative complte en un carrŽ sĠobtient en ajoutant au demiant N prŽcŽdent son miroir S.

En principe la grille sĠŽtend indŽfiniment aux 4 points cardinaux. Fig. 4. Il nĠy a pas de mise en Žvidence dans le demiant S. La grille renferme les 64 valeurs possibles du trin™me slm des 3 paramtres spin, moment cinŽtique azimutal, moment magnŽtique. LĠaxe NS est verseur du spin.

Fig. 4. La grille des moments cinŽtiques l et m et des spins, avec ses 64 cases. LĠaxe NS, trace dĠun plan miroir, est verseur de spin. Grille5.ai  Grille5.png

SymŽtries. Cette grille complte, sauf la mise en Žvidence qui affecte le demiant O, admet un 2e axe de symŽtrie miroir qui est lĠaxe horizontal OE, prŽservant le spin, orthonormal ˆ celui verseur du spin. JusquĠˆ plus amples codifications, cela suggre quĠil nĠy a pas lieu de distinguer entre les r™les Žventuels des quadrants NE et SE. Cela suggre aussi que le miroir axe horizontal OE lui aussi pourrait tre verseur dĠun paramtre analogue au moment cinŽtique spin.

Une case Žtant dŽfinie par nslm, ce paramtre ne peut tre que n. Ë certains points de vue, n serait assimilable ˆ un vecteur. PuisquĠil doit sĠappliquer ds la 1re case de toutes, o n=1, il faut que lĠeffet de ce verseur soit dĠaugmenter n dĠune unitŽ en passant du quadrant NO au quadrant SO.

LĠaxe OE est un miroir versant selon NS n dĠune unitŽ, de +1 dans le demiant O, (de -1 dans le demiant E).

Cette grille admet encore 2 autres symŽtries miroirs touchant les octants opposŽs en diagonales principales. Les quadrants NE et SO ne sont pas miroirs diagonaux lĠun de lĠautre, cˆd, par lĠeffet dĠun miroir plan alignŽ selon SO et NE. Mais ces quadrants sont miroirs didres lĠun de lĠautre, cˆd, par lĠeffet de 2 miroirs plans alignŽs lĠun NS et lĠautre OE. De mme les quadrants NO et SE. (Fig. XXX ˆ venir).

Principe 5bis. Nous posons cette exigence que lĠoccupation de la grille doit commencer par lĠune de ces 4 cases et se poursuivre par les valeurs croissantes de m, puis de s et dŽcroissantes de l.

Cette proposition est explicitŽe.

Principe 5ter. NŽcessitŽ du pairage des pŽriodes.

Peuplement. Nous rencontrons une suggestion que les pŽriodes viennent par paires Žgales. Voilˆ pourquoi.

Paires de pŽriodes. La grille Fig. 4 renferme 64 cases, cˆd autant que la population globale des 2 plus longues et dernires pŽriodes, ayant lĠune et lĠautre des nombres Žgaux de cases, lĠune et lĠautre 32 cases. Cette grille renferme 12 cases J, ce qui est le double du nombre de cases J apparaissant dans une pŽriode qui en contient.

Il est assez Žvident quĠun exemplaire de notre grille figurative offre ce quĠil faut pour accueillir une paire de telles pŽriodes. Le fait du pairage des pŽriodes para”t ainsi dŽcouler inŽvitablement de la sorte de gŽomŽtrie quantique ici proposŽe. On peut apercevoir une analogie de notre raisonnement en gŽomŽtrie quantique avec celui  concernant les projections m dĠun vecteur l sur un axe qui est le champ magnŽtique, dans lĠexplication de lĠeffet Zeeman. Ils sont gŽomŽtriques 3D lĠun et lĠautre ; notre raisonnement se dŽcrit en 2D mais requiert une 3e dimension pour effectuer lĠopŽration du miroir ; celui concernant lĠeffet Zeeman requiert 3D pour sa description.

Ce pairage des pŽriodes appara”t comme une obligation, il est examinŽ ˆ nouveau plus loin.

Principe 5ter. Nous pouvons nous dispenser des Žcritures slm dans les cases de notre grille figurative et admettre que chaque case est codŽe selon sa position en termes de slm.

Ayant en mŽmoire et consultable ˆ volontŽ la grille Fig. 4, voici plut™t sa rŽpŽtition dans Fig. 5 en omettant les Žcritures dans les cases, Žcritures devenues redondantes par suite des synonymies avec couleurs et positions tant quĠon prŽserve couleurs, quadrillages et contours. Je retiens cependant les Žcritures de la colonne initiale en position latŽrale comme aide-mŽmoire. Fig. 5. De la sorte, lĠespace ˆ lĠintŽrieur des cases est entirement disponible pour y entrer les paramtres autres que slm tels que n et z.

Fig. 5. La grille figurative dŽbarrassŽe dĠŽcritures dans les cases. Elle est codŽe. Voir texte. Les espaces de la 1re pŽriode sont mis en Žvidence. Grille6.png  Grille6.ai

Le paramtre n.

Principe 6. Un diagramme pour 2 pŽriodes. Des tŽtrades dĠŽlŽments.

LĠadresse du dŽbut des 2 pŽriodes est fixŽe : elle doit se placer dans les spins -, donc dans le demiant O. La  1re pŽriode dŽbute dans le quadrant NO , la 2e, dans le quadrant SO. Il faut ensuite choisir pour la suite de lĠŽcriture des pŽriodes, entre les 2 quadrants ˆ lĠintŽrieur du demiant E. Ou bien au mme niveau, ou bien croisŽ. JĠai choisi croisŽ. Fig. 6noytr.

Fig. 6. SchŽma dĠutilisation croisŽe des quadrants par les 2 pŽriodes dĠune paire. Le cheminement de lĠutilisation se comprend ˆ partir de Fig. 7bis plus bas. Les cases disponibles pour loger une tŽtrade de cases dessinent un X aux branches Žgales ; cette grille peut contenir 16 telles tŽtrades. Grille7.ai  Grille7.png

Principe 6. Les tŽtrades dĠŽlŽments

Dans notre diagramme, une case est vicariante de 3 autres, les 4 cases ainsi associŽes ont mme bin™me lm et appartiennent ˆ 2 pŽriodes distinctes. Leurs centres dessinent un rectangle et ses 2 diagonales croisŽes en X. On peut isoler chaque tŽtrade et lĠafficher. Une tŽtrade est caractŽrisŽe par un bin™me lm identique dans ses 4 cases, ses cases O sont spin-, ses cases E sont spin + ; ses cases NO et SE portent n1 pour  la 1re pŽriode, ses cases SO et NE portent n2=n1+1 pour la 2e pŽriode. Voyez Fig. 6 et 7bis plus bas. Fig. 6bis.

Fig. 6bis. Exemple dĠune tŽtrade, la tŽtrade l=0, m=0. Il existe 30 tŽtrades (dĠŽlŽments). Grille12.ai  Grille12.png

Voilˆ dans quel ordre les cases sont occupŽes. Fig. 6ter.

Fig. 6ter. Les cases sont occupŽes ˆ partir de la case initiale dans lĠordre de lĠalphabet minuscules suivies de majuscules. Remarquer le miroir dĠaxe OE. Chacune de ces cases possde un bin™me lm. Grille6ter.ai  Grille6ter.png

Principe 7. Les cases initiales. Valeurs de n.

Nous savons que les cases initiales portent respectivement les valeurs n=1234. Pour chacune dĠelles, cĠest la valeur minimale de n compatible avec la contrainte dĠtre la 1re occupŽe dans lĠatome avec la valeur de l assignŽe. Fig. 7.

Fig. 7. Les cases initiales portant les valeurs de n. On sait la relation l<n, l et n entiers. Ë chaque case initiale correspond une couronne de lĠune des couleurs RJVB. LĠoccupation des cases se fait selon Fig. 6ter. Grille8.png  Grille8.ai

Vouci une prŽsentation des cases dans lĠordonnance des niveaux dĠŽnergie de liaison. Rappelons que ce niveau dĠŽnergie est, en unitŽs appropriŽes, la masse de lĠatome diminuŽe de la masse des Žlectrons au repos et de celle du noyau. Il est connu pour lĠatome H : -13,56 ev. Les autres sont infŽrieurs ˆ 0, sinon lĠatome ne serait pas stable. Pour les atomes les plus massifs, il avoisine -0,5 Mev

Les strates sont supposŽes superposŽes dans leur ordre numŽrique, la strate 1 en bas. Dans un 1er temps, nous montrons slm seulement, m seul est Žcrit dans les cases. Fig. 7bis.

Fig. 7bis. Le contenu des grilles prŽcŽdentes organisŽes dans un Žtagement ŽnergŽtique figurant s et l, dans les cases, m est Žcrit. Les strates sont supposŽes superposŽes dans lĠordre 1234, la strate 1 en bas. LĠŽnergie de liaison cro”t de bas en haut et de gauche ˆ droite. On reconna”t ici le cheminement de lĠoccupation des cases, discontinu dans les diagrammes prŽcŽdents, voir Fig. 6ter, ici continu. La case de la plus faible Žnergie de liaison est -0 de la strate 1, son niveau est -13,6 ev. La case la plus haute est +0 de la strate 4  et son niveau, qui est le plus grand de tous, est de lĠordre de -0,5 Mev. Grille18.ai  Grille18.png

Dans Fig. 7bis, font dŽfaut les paramtres n et z. Essayons dĠen organiser lĠintroduction dans les cases Pour ce qui est de z, rappelons le principe 7. Les strates commencent ainsi : 1re par n=1, 2e par n=2, 3e par n=3 et 4e par n=4.

1re et 2e strates. De la sorte, les cases de la 1re strate 1 sont nŽcessairement n=1, 1, 2 et 2, dans lĠordre, puisque le principe de Pauli permet 2 Žlectrons, lĠun s=-, lĠautre s=+, avec le mme trin™me nlm. La strate 1 a donc les ŽlŽments z=1 ˆ 4. LĠŽlŽment suivant a z=5, en accord avec notre principe 2bis. Il amorce un demi-bloc –p suivi dĠun autre +p, ayant lĠun et lĠautre n=2, totalisant 6 ŽlŽments. Puis viennent 2 ŽlŽments s ayant le plus petit n disponible qui est n=2, 6 ŽlŽments p ayant n=3 dĠaprs la rgle du plus petit n disponible et enfin 2 ŽlŽments s ayant n=4 dĠaprs cette mme rgle, et la strate 2 est complte. Le dŽnombrement des cases donne z=19 et 20 pour ces 2 ŽlŽments et donne les valeurs de z pour les ŽlŽments prŽcŽdents de la strate 2.

Le problme quasi-sŽculaire. Dans la logique des principes que nous proposons, il nĠy a pas ˆ sĠŽtonner de ce rŽsultat. Une manire de le prŽsenter est come suit. LĠŽlŽment 19 de la pŽriode 4 fait partie de la tŽtrade comprenant n=11 et 12 de la pŽriode 3 prŽcŽdente dans la strate 2. Une tŽtrade amorcŽe doit obligatoirement tre complŽtŽe ˆ lĠintŽrieur de la mme strate avant de passer ˆ la strate suivante. LĠintŽrieur dĠune strate est limitŽ par la 1re couronne remplie, ici l=1.

Ce rŽsultat rŽsout le problme quasi-sŽculaire posŽ par lĠabsence dĠŽlŽments d3 (V3) dans la 3e pŽriode traditionnelle (la pŽriode contenant z=14 (Si).

3e et 4e strates. Le remplissage de ces strates suit la logique exposŽe en dŽtail pour les 2 strates prŽcŽdentes. Le tableau plus loin rŽpte Fig. 7bis avec addition de z, du symbole et de n. Fig. 7ter

Ë venir.

Fig. 7ter. Comme la prŽcŽdente, mais avec Žcriture de z, symbole, n dans les cases.

Ë venir.

Fig. 7quater. Comme Fig. 7ter, mais les strates placŽes c™te ˆ c™te. Elles dessinent sensiblement une demi-ellipse. Grille9ter.ai  Grille9ter.png

Ë venir.

Fig. 7quinte. Comme Fig. 7bis, mais les strates placŽes c™te ˆ c™te. Elles dessinent sensiblement une demi-ellipse. Grille9ter.ai  Grille9ter.png

Principe 8. Nous nous donnons 4 exemplaires de la grille figurative, contenant les 4 strates.

Dans chaque strate nous dŽsignons lĠune des couronnes RJVB. Fig. 8.

Fig. 8. Notre grille figurative appara”t ici en 4 exemplaires, des Žcritures ont ŽtŽ omises.  Ce sont les grilles des 4 strates (,  chacune avec sa couronne de mme numŽro. Grille9.ai  Grille9.png

Notre description prŽcŽdente du remplissage peut nous convaincre que certaines couronnes de cases parmi les 256 apparaissant Fig. 8 sont superflues. En les supprimant, nous gardons 120 cases sur 256 et nous obtenons Fig. 8bis.

Fig. 8bis. Les 4 grilles comme Fig. 8, mais en omettant les cases superflues.Les demiants N et S viennent par paires miroirs lĠun de lĠautre. Grille9bis.ai  Grille9bis.png

Ë venir.

Fig. 8ter. Comme la prŽcŽdente, mais les strates placŽes c™te ˆ c™te. Elles sĠinscrivent sensiblement une demi-ellipse. Grille9ter.ai  Grille9ter.png

Ë venir.

Fig. 8quater. Comme la prŽcŽdente, mais les spins – tous ˆ lĠouest et les spins – tous ˆ lĠest. Le demiant ouest et le demiant est sont miroirs lĠun de lĠautre, de mme les demiants nord et sud. Il y a une tŽtrade de quadrants, chacun a 3 vicariants identiques quant ˆ l cˆd la couleur, et m. Il y a 30 tŽtrades dĠŽlŽments. Ces tŽtrades de quadrants rŽpondent ˆ un miroir didre au centre de figure. Grille9quater.ai  Grille9quater.png

Ë venir.

Fig. 8quinte. Comme la prŽcŽdente, mais les tŽtrades dĠŽlŽments placŽes c™te ˆ c™te. Elles sĠinscrivent sensiblement en un quart-ellipse. Grille9quinte.ai  Grille9quinte.png

Ë venir.

CivilitŽs.

Je remercie Patrick Demers, expert informaticien, pour son aide.

Conclusion en 2010.

La bonne fortune a souri ˆ 2 gŽomtres mathŽmaticiens qui Žtaient Mendeleev et Janet. LĠun et lÔautre ont raisonnŽ sur la base dĠune dimension seulement attribuŽe ˆ chaque pŽriode et sur des nŽcessitŽs imposŽes par le respect des symŽtries. La prŽsente publication continue dans cette voie en ajoutant les Žquerres pour cause de nombres impairs et la nŽcessitŽ de 2 dimensions pour chaque  pŽriode. Puis le respect de la symŽtrie 4 suggre dĠajouter ˆ un rectangle son symŽtrique et de considŽrer toute pŽriode en relation avec son symŽtrique en une seule entitŽ occupant un carrŽ et cĠest la source du systme des strates. Et il faut 4 strates par respect de la symŽtrie 4.

Mais ce qui prŽcde est imparfait et incomplet. Je le livre sans tarder ˆ la rŽflexion de qui me lira. JĠarrte en cette avant-veille dÔune autre Saint-Sylvestre et jĠajoute Ë suivre en lĠannŽe 2011 bient™t. Je la souhaite Bonne et heureuse ˆ mes lecteurs et lectrices!

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