PŽriodes 0, 2, 4, 6                       PŽriodes 1, 3, 5, 7

Þ 1er treillis puis 3e, 2e puis 4e, 1er puis 2e, etc. 1re vague de lecture ˆ gauche, 2e vague ˆ droite. Les spins -, lÕHydrogne et les alcalins sont dans les treillis 1 et 2, les spins +, les halognes et les gaz rares, dans les treillis 3 et 4. La pŽriode 0 est fictive. LՎcart entre une case et lÕaxe du treillis marque la valeur de m, de -3 ˆ gauche ˆ 3 ˆ droite.

 

         Treillages. On peut tracer 4 treillis de carrelages losangŽs formant un treillage. Les allŽes et venues du point figuratif sont instructives et signalent les exigences du spin s et du quantum magnŽtique m. Fig. 4.

 

         Triangles et tŽtradre. Par des homothŽties, on peut remplacer les carrŽs par des triangles. Les 4 grands triangles RJVB peuvent sÕassocier en un trs grand triangle et celui-ci peut se replier en un tŽtradre rŽgulier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

         HŽlices. Nos espaces figuratifs font appara”tre des dispositions en hŽlices  suggrant un rapprochement avec celles des chromosomes.

 

GŽmellation et couplage SS

 

         Les pŽriodes sont prŽsentes par paires ayant le mme nombre dՎlŽments ˆ partir de la 2e. CÕest ce que nous appelons gŽmellation. Nous proposons que cela proviendrait dÕune tendance des spins des Žlectrons vicariants dÕune mme strate ayant

 

 

 

 

mmes nombres lm, cÕest-ˆ-dire appartenant ˆ des orbitales lm ne diffŽrant que par leur nombre n ˆ sÕassocier 4 par 4.

         Sur la figure 5, on reconna”t que ces 4 Žlectrons dŽfinissent deux segments de droites ˆ angle droit : par exemple LiBe et NaCa dans la strate 2, GeBr et SnI dans la strate 3. Comme il faut leur attribuer des niveaux diffŽrents selon les sous-couches dans lÕespace 3D, ces segments ne se rencontrent pas et dŽfinissent ˆ leur tour un tŽtradre, par exemple un tŽtradre rŽgulier, ce qui est le 1er des solides de Platon. Il est naturel de penser que cela correspond ˆ une particularitŽ de la structure Žlectronique. Ce serait le couplage SS, extension du couplage ss bien connu qui fait que chaque orbitale nlm peut tre occupŽe par 2 Žlectrons de spins opposŽs. Dans le couplage SS, chaque couple lm dÕune strate tend ˆ tre occupŽ par 4 Žlectrons. Cette tendance  expliquerait les gŽmellations  observŽes. Les 4 spins impliquŽs seraient orientŽs mutuellement  selon  les 4axes dÕun tŽtradre rŽgulier et cela expliquerait lÕimportance du nombre 4 dans le systme des ŽlŽments.

 

V. PropriŽtŽs chimiques

         Isochimes. Les colonnes des tableaux traditionnels plans sont remplacŽs par des isochimes, ”lots de cases marquant des propriŽtŽs chimiques semblables, ”lots dÕune ou plusieurs cases, ŽtagŽs dans une reprŽsentation 3D. Les ŽlŽments sp du dŽbut et de la fin des pŽriodes sont groupŽs dans le coeur des petits carrŽs et dans le bloc central des grands  carrŽs. Les ŽlŽments de transition se placent naturellement en pŽriphŽrie. Les triplets dՎlŽments de la colonne 8 forment des ”lots linŽaires et parallles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Þ